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Enjeux de la qualité et de la sécurité des denrées alimentaires


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La production et la consommation des denrées alimentaires sont cruciales pour toute société, et comportent des conséquences économiques sociales et dans certains cas environnementales. L’aliment joue un rôle essentiel dans notre vie quotidienne. Tout dysfonctionnement de la chaîne alimentaire affecte le prix des denrées alimentaires, le choix du consommateur et le revenu des entreprises agroalimentaires.

Démarches ISO 22000 ET FSSC 22000

À cet effet, le management de la qualité et de la sécurité des aliments doit être considéré comme une compétence essentiel dans la compétitivité des entreprises à gros alimentaire, en particulier dans un contexte de changement accéléré des paradigmes, pour s’adapter aux nouvelles environnement opérationnel du commerce de produit alimentaire caractérisé par la pression concurrentielle, la multiplication des règles et l’évolution des exigences du consommateur.

À cet effet, le management de la qualité et de la sécurité des aliments doit être considéré comme une compétence essentiel dans la compétitivité des entreprises à gros alimentaire, en particulier dans un contexte de changement accéléré des paradigmes, pour s’adapter aux nouvelles environnement opérationnel du commerce de produit alimentaire caractérisé par la pression concurrentielle, la multiplication des règles et l’évolution des exigences du consommateur.

Face à ce défi, l’entreprise agroalimentaires doit posséder à une analyse de son contexte, identifier les risques et les opportunités, planifier les actions nécessaires pour réduire ses risques et atteindre ses objectifs en matière de qualité et de sécurité des denrées alimentaires. Dans ce contexte la dynamique apportée par la mise en place d’un système de management fondé sur la norme ISO 22000 repose sur une approche globale de la maîtrise de la sécurité des aliments portés par les cinq piliers suivants :

  • La prévention qui est assurée par la mise en œuvre d’un ensemble de bonnes pratiques (PERP).
  • La conformité qui engage l’entreprise à assurer et établir la conformité de façon coordonnées.
  • L’évaluation qui déploie un dispositif complet (tous les niveaux), opérationnel et global.
  • L’amélioration pour s’assurer que les processus sont dotés de ressources adéquates et sont gérés de manière appropriée à travers le cycle PDCA.
  • La responsabilité implique l’engagement de la direction et attribue les responsabilités nécessaires à la mise en œuvre de la démarche SDA.
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